
Camille, mon envolée
Sophie Daull
Ce livre on l’a ouvert juste pour regarder. Mais il vous happe au plus profond et se lit alors d’une traite sans reprendre sa respiration. Ce n’est pas le premier texte sur la mort d’un enfant et pourtant il se révèle à la fois singulier et universel. C’est toute sa force. D’une force inouïe, à tous les niveaux.
Valérie Michel-Villaz